Alice, de l'autre côté du miroir

Manon Styles-Horan
31 juil. 2016
2 min de lecture

Salut mes lapins !

Aujourd'hui, je vais vous parler du dernier film en date de Tim Burton et que je suis allée voir il y a un mois : Alice, de l'autre côté du miroir (le titre de la suite d'Alice au pays des Merveilles de Lewis Carroll). C'est partit !

J'ai lu les deux romans de l'auteur, alors autant vous dire que je connais assez l'univers. De plus, à la vue du premier film, je savais très bien qu'une suite ne pourrait pas correspondre aux livres, car le réalisateur s'est inspiré des deux ouvrages pour la première de ses créations d'Alice. En outre, j'attendais un film complètement wtf, sans qu'il colle à sa source.

De cette attente, je n'ai absolument pas été déçue. En effet, dès le début, nous sommes transportés au milieu des vagues, le nouveau monde d'Alice. L'océan représente le lieu de l'infini, voire de l'inspiration sans limite. Toutefois, lorsqu'elle pose le pied sur la terre, sa vie bascule. C'est alors qu'après une petite aventure, elle passe de l'autre côté du miroir, comme l'indique le titre. C'est le retour au pays des Merveilles, où tout le monde l'attend.

Je ne vais pas vous spoiler le film (je déteste qu'on me le fasse !), mais vous y découvrirons une réflexion sur le temps qui passe, qui ne peut pas s'arrêter, et le conflit des Hommes avec le passé. En outre, même si l'univers paraît enfantin, et la morale peut-être aussi d'ailleurs, le film peut toutefois toucher un public assez large. En effet, malgré une présentation assez soft (Disney, n'oubliez pas !), l'histoire reste sympathique et touchante. Elle nous parle d'amitié, de regrets, de famille... Ce sont des thèmes qui, certes, sont communs, mais qui nous concernent tous.

Pour résumer, j'ai assez apprécié ce film, durant lequel je n'ai absolument pas vu passer les presque deux heures. Alors oui, même si pour beaucoup, c'est un "Tim Burton dilué", c'est (de mon avis) un film à voir, autant pour son univers (non mais n'oubliez pas que c'est comme si vous aviez prit de la drogue mais sans la substance illicite !) que pour son scénario (oui, assez banal, mais cela n'empêche rien).

Aller mes chatons, le Chat du Cheshire et moi vous disons :