Wonder Woman, une vraie réussite de DC
- Manon Styles-Horan
- 16 janv. 2018
- 3 min de lecture
Bonjour à tous et... Bonne et merveilleuse année 2018 ! Aujourd'hui, je reviens plus en force que jamais pour vous présenter l'un des films que j'ai découvert l'an passé, et que je regarde depuis au moins une fois par mois tellement je l'ai apprécié : Wonder Woman, réalisé par Patty Jenkins. Promis, je vais éviter de vous en faire une propagande ; mais soyez sérieux, il est génial.

Bon, je ne suis pas fan de la dose de photoshop utilisée pour cette affiche, mais passons.
Vous l'aurez donc compris : c'est un film que je vous conseille. Aussi, ne vous attendons toujours pas à une analyse détaillée et exemplaire, parce que je ne suis pas critique de films, ni spécialiste - loin de là, j'ai d'ailleurs beaucoup de classiques à rattraper.
Pour être tout à fait honnête, je suis allée voir ce film avec une légère boule au ventre. En effet, j'adore les comics Wonder Woman, et vu l'horreur que DC nous avait offert avec Suicide Squad, j'avais peur d'un nouveau sacrilège. Figure de la femme forte et du féminisme, il fallait que ce film soit à la hauteur des attentes, autrement mon petit cœur n'y aurait pas survécu. J'y suis donc allée histoire avant tout afin d'accompagner mes frères, sans regarder auparavant la bande annonce (je déteste regarder les trailers, qui maintenant te spoilent la moitié du film). Quelle ne fut pas ma surprise d'accrocher directement ! J'ai souris, ris et pleuré, et au final je suis même retournée le voir deux semaines plus tard, tellement je l'ai aimé.

Elle est plus badass que Superman et Batman, sorry.
Le film s'ouvre sur un univers hérité de Batman VS Superman, très sombre, avec un filtre gris et froid. Nous nous trouvons à Paris, plus particulièrement au Louvre, lieu de travail de Diana Prince. Une photo envoyée de la part de Batman la replonge dans ses souvenirs : son enfance, sa découverte du monde des Hommes, la naissance de Wonder Woman et ses premières désillusions. L'histoire se déroule pendant la Première Guerre Mondiale, aux origines de l'arrivée de la super-héroïne.
Dès que Diana replonge dans son enfance, les couleurs deviennent plus chaudes, plus claires, plus rassurantes. Nous découvrons Themyscira, île habitée par les Amazones et désormais cachée aux Hommes. Leur rôle était, lors de leur création, de ramener la pureté et l'innocence aux humains suite aux méfaits d'Adès, et maintenant de tuer le dieu de la guerre ; d'où le départ de Diana de l'île, accompagnée du fameux personnage de l'univers de Wonder Woman : Steve Trevor.
Je ne voudrais pas trop vous en dire, car le spoil n'est tout bonnement pas tolérable ; mais honnêtement, c'est une adaptation assez fidèle à l'oeuvre d'origine, et rien que pour ça elle mérite d'être visionnée au moins une fois, afin de se faire un avis personnel. L'action ne manque pas, et les musiques, composées par Rupert Gregson-Williams, collent parfaitement à l'ambiance. Le scénario est, je trouve, plutôt bon, et le film est assez rythmé, variant moments calmes et plus combatifs. En plus, certains commentaires de Diana prêtent au rire, alors on passe un bon visionnage, assez léger au final.

On appelle ça de la force et beaucoup de muscles, dans le milieu.
Bon, ben je ne vois pas ce qu'il vous retient hein, maintenant faut foncer, Diana ne peut pas sauver le monde seule, c'est super important. Hop, hop, hop ! La bise les gens !
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